23.7.10
"WE WILL BECOME INVISIBLE” -- MHF on scrapping mandatory census
This is not a partisan request—indeed, upset about this has come from across the political spectrum. But we need voices to be raised. Only through engagement can we effect change.
There are many, many reasons why this is a bad decision—fundamentally it’s because one can’t govern from ignorance. But the title of this piece reflects one of the most worrying aspects—that making the census voluntary will render many Canadians “invisible”. The comment first came to my office from a representative of the Korean Canadian community, recognizing the concern for the community, and exhorting others to take action. It is a comment that has now been repeated many times, by many people, from all political persuasions. Making the census voluntary will disproportionately affect Canadians from already under-represented groups such as new immigrants, the poor, the less-educated, those with disabilities, aboriginals and people from certain ethno-racial groups. Many of these people will, for various reasons, be far less likely to fill out a form voluntarily—and if the forms aren’t filled out, they will, in effect, become invisible. Those who are most vulnerable will become invisible to the very people whose job is to make decisions affecting them.
Provinces, municipalities, businesses, doctors, nurses, social workers, chambers of commerce, think tanks (from across the ideological spectrum), teachers—people and organizations from all across Canada, and from every political persuasion, have come out strongly against this decision. Even the head of Statistics Canada has resigned, saying that the proposed voluntary replacement will not work. There are few issues that have engendered such unanimous condemnation.
As an elected politician, I know that to make good decisions for Canada, we need basic information about Canadians, such as income, ethnicity, work, age, language, education, disabilities and the like. The information gathered is kept completely confidential on a personal basis, but is invaluable as a whole. Without that information, how can we possibly develop and provide for effective and efficient taxation, social programs, infrastructure building, education, health care, old age security, affordable housing, immigrant assistance? Governments, charities, businesses and community organizations—we all rely on the census information to do our jobs the best we can. How can we possibly run this country effectively without the facts?
Supporting this decision (made without any public consultation or notice) are a few ultra-conservatives, including Prime Minister Harper, reflecting an ideological, far right, “keep the state away from me” way of thinking. But contrary to claims by some in the Harper government, very, very few people ever complained about the “intrusion” of the mandatory census—Statistics Canada reported no such negative response, and Canada’s Privacy Commissioner reported only 3 complaints in 10 years (!), none of which were upheld.
In 2003 the Republican administration in the US tried making the census voluntary, but it was a disaster. Bad enough that the number of respondents dropped significantly, but the number dropped disproportionately far more among groups such as blacks, Hispanics, immigrant communities and American Indians. Because of the imbalance, the information became of little use, and the whole system became more expensive. The US wisely, quickly, returned to a mandatory census system.
By far the majority of Canadians believe in peace, order and good government, and good government requires facts and knowledge of the people—ALL of the people—to whom, and for whom, that government is responsible. I encourage you to help us persuade the Harper government to rethink this bad decision.
« Nous allons devenir invisibles »
J’écris aujourd’hui pour demander à tout le monde de s'élever contre la décision du gouvernement Harper de ne plus imposer l’obligation de répondre au formulaire long de recensement. Écrivez au premier ministre, au ministre Clement, à votre député ou votre députée (oui, moi aussi). Appelez les émissions de ligne ouverte à la radio. Joignez‑vous aux protestataires sur Facebook. Écrivez des lettres aux éditeurs de vos journaux locaux. Les Canadiens et les Canadiennes doivent dire « non » à cette décision.
Ce n’est pas une demande partisane; parce que ce geste a suscité l’indignation de tout le spectre politique. Mais nous avons besoin de voix qui vont se faire entendre. C'est seulement par l’engagement que nous pouvons changer les choses.
C’est une mauvaise décision pour toutes sortes de raisons. Mais fondamentalement, c’est parce qu’on ne peut pas gouverner dans l’ignorance. Par ailleurs, l’un des aspects les plus préoccupants du geste est le voile d’invisibilité qu'il posera sur beaucoup de Canadiens et de Canadiennes, comme je m’en inquiète dans le titre de ma missive. C’est un représentant de la communauté coréenne canadienne qui a été le premier à en faire la remarque à mon bureau, reconnaissant son inquiétude pour la communauté, et nous exhortant tous et toutes à réagir. Le commentaire a depuis été réitéré à maintes reprises, par beaucoup de personnes, de toutes les allégeances politiques. Rendre le recensement volontaire touchera de façon disproportionnée les Canadiens et les Canadiennes de groupes déjà sous‑représentés comme les nouveaux immigrants, les pauvres, les moins éduqués, les personnes handicapées, les autochtones et les personnes de certains groupes ethnoraciaux. Un grand nombre de ces personnes, pour diverses raisons, seront beaucoup moins susceptibles de remplir un formulaire volontairement. Et si elles ne remplissent pas les formulaires, elles deviendront dans les faits invisibles. Ce sont les plus vulnérables qui disparaîtront aux yeux justement de ceux et celles dont le travail consiste à prendre des décisions qui touchent les plus vulnérables.
Les provinces, les municipalités, les entreprises, les médecins, les infirmières, les travailleurs sociaux, les chambres de commerce, les groupes de réflexion (de tout le spectre politique), les enseignants, les personnes et les organismes de partout au Canada, et de toutes les allégeances politiques, se sont fortement opposés à cette décision. Le Statisticien en chef du Canada a même démissionné, en disant que le formulaire volontaire proposé pour remplacer le formulaire obligatoire ne fonctionnera pas. Rares sont les questions qui ont suscité une telle condamnation unanime.
À titre d’élue, je sais que pour prendre de bonnes décisions pour le Canada, nous avons besoin de données de base sur les Canadiens et les Canadiennes, comme le revenu, l’ethnicité, le travail, l’âge, la langue, l'éducation, les handicaps et autres. Les données réunies demeurent entièrement confidentielles sur une base personnelle, mais leur valeur d'ensemble est inestimable. Sans ces données, comment pouvons‑nous élaborer et fournir des mécanismes efficaces et efficients d’imposition, des programmes sociaux ciblés, une infrastructure adéquate, l’éducation, les soins de santé, la sécurité de la vieillesse, le logement abordable, l'aide aux immigrants? Tant les gouvernements, les organismes de bienfaisance, les entreprises que les organismes communautaires, nous dépendons tous des données du recensement pour faire notre travail le mieux possible. Comment pourrions‑nous diriger ce pays efficacement si nous ne connaissons pas les faits?
Les partisans de cette décision (prise hors de toute consultation publique et sans aucun avis) sont quelques ultra‑conservateurs, dont le premier ministre Harper, des tenants de l’idéologie de l'extrême droite pour qui « il faut tenir l’État le plus loin possible. » [traduction] Mais contrairement à ce que prétendent certains membres du gouvernement Harper, très rares sont les personnes qui se sont plaintes de « l’intrusion » du formulaire de recensement obligatoire. Statistique Canada n’a rapporté aucune réponse négative semblable à ce sujet, et la commissaire à la protection de la vie privée du Canada a fait état de seulement trois plaintes en dix ans (!), dont aucune n’a été retenue. La très grande majorité des Canadiens et des Canadiennes croient à la paix, à l’ordre et au bon gouvernement, et le bon gouvernement a besoin de faits et de renseignements sur la population, la population AU COMPLET, qu’il a la responsabilité de servir et dont il est responsable.
En 2003, l’administration républicaine aux États‑Unis a essayé de rendre le recensement volontaire, mais cela a été un désastre. Si la diminution importante du nombre de répondants que cette décision a engendrée était déjà consternante, bien pire encore a été la façon disproportionnée dont cette diminution s’est manifestée chez des groupes comme les noirs, la population hispanophone, les communautés immigrantes et les indiens américains. Ce déséquilibre a rendu les données de peu d’utilité, et le système au complet est devenu plus dispendieux. Les États‑Unis sont retournés sagement, rapidement, à un système de recensement obligatoire. Je vous encourage à nous aider à persuader le gouvernement Harper de revoir cette mauvaise décision.
This Great Country of Ours…3 Days on the Liberal Express
Ce beau pays qui est le nôtre…3 jours sur l’autobus le Libéral Express
This Great Country of Ours…Sudbury, June 2010 x 2
Not long thereafter, I was asked to do a televised book review, on CBC’s “Power and Politics” with Evan Solomon, on the new biography of former Prime Minister R.B. Bennett by John Boyko, “Bennett, The Rebel who Challenged and Changed a Nation”. James Rajotte, my Conservative MP co-reviewer, was in Edmonton, Evan was in Ottawa, but I was on Georgian Bay, so the closest CBC studio was in Sudbury--but it worked. And I highly recommend the book to anyone—not just because I learned so much about a previously under-recognized prime minister, but also because of how much I learned about Canadian politics of the era.
Ce beau pays qui est le nôtre…Sudbury, juin 2010 x 2
Peu de temps après, on m’a demandé de faire un compte rendu d’un livre à la télévision à l’émission « Power and Politics », à la SRC, avec Evan Solomon. Il s’agissait de la nouvelle biographique de l’ex-premier ministre R.B. Bennett, écrite par John Boyko, « Bennett, The Rebel who Challenged and Changed a Nation ». James Rajotte, le député conservateur qui faisait le compte rendu avec moi, se trouvait à Edmonton, et Evan était Ottawa. Cependant, comme je me trouvais moi-même à la baie Georgienne, le studio de la SRC le plus proche était à Sudbury. Néanmoins, cela a fonctionné. Je recommande chaudement le livre, non seulement parce que j’ai beaucoup appris sur un premier ministre par le passé sous-estimé, mais aussi en raison de ce que j’ai pu y apprendre au sujet de la politique canadienne de l’époque.
Ce beau pays qui est le nôtre…Vancouver, juin 2010
En outre, c’est toujours agréable de passer un peu de temps à Vancouver. J’avais l’habitude de venir y passer pas mal de temps par affaires et, à chaque visite, je m’organisais toujours pour aller courir au moins une fois autour du mur de protection qui entoure l’époustouflant parc Stanley. Malheureusement, les dernières fois que j’y suis sortie, j’ai « oublié » d’apporter mes shorts et mes espadrilles… Je dois admettre, cependant, que j’ai fait l’école buissonnière un après-midi pour aller voir au musée des beaux-arts de Vancouver une exposition qui s’intitulait « The Modern Woman, Drawings by Degas, Renoir, Toulouse-Lautrec and other Masterpieces from the Musée d’Orsay, Paris ». Comment aurais-je pu NE PAS aller la voir? Il y aurait tant de choses à raconter sur chaque visite à Vancouver. Néanmoins, celle-ci a été courte. Toutefois, une anecdote m’a interpelée particulièrement après (i) une séance d’orientation tôt le matin, au cours de laquelle on avait traité de nombreux problèmes importants qui se posent aux femmes de Vancouver; et (ii) l’exposition d’œuvres d’art intitulée « The Modern Woman »… Je passais devant les bateaux de l’arrière-port, de gros paquebots et des voiliers (en tant que marin, je dois avouer que j’ai une faiblesse pour les bateaux) et j’en ai vu un qui arborait fièrement, placé bien à la vue (et non, comme d’habitude, seulement sur le tableau arrière)… le nom « Fish and Chicks » (poisson et filles). Soupir...
This Great Country of Ours…Vancouver, June 2010
9.7.10
Stephen Harper's G20: Exorbitant costs, security clashes, unwarranted police force and trampling of civil liberties
Unwarranted force, arrests and our civil liberties: I join the many others calling for a public inquiry based on what happened on the streets of Toronto. Despite all the excuses about “security”, the world saw Toronto—this fabulous, colourful, vibrant, safe and friendly city—as a war zone wasteland with burning cars, police violence and a trampling of civil liberties. The examples of unwarranted arrests, intimidation and inappropriate treatment of innocent, peaceful civilians continue to mount. We MUST stand for human rights, civil liberties, free speech, freedom of (peaceful) association and protest. These are critical in a democracy—it’s about far more than simply voting. Only when these rights are protected, indeed promoted, is a vote, a society, truly democratic. Not only must our police and government officials show the highest respect for these fundamental laws and liberties—they are supposed to be ones protecting them. In this case they didn’t. We must insist that they do. An inquiry is needed. The Ontario ombudsman will now review the ‘quiet’ introduction of sweeping powers (see the Globe and Mail article), and the Toronto Police have initiated a civilian review of police conduct—but Stephen Harper’s government appears to have been at the core of the decisions and the orders being given. We need to know what those orders were, who was giving them, what position those orders may have forced the Toronto police into, and who, ultimately was directing this reprehensible response.
Stephen Harper’s G20: The blame for much of this lies squarely with Stephen Harper. Harper’s last-minute decision to include the G20 in downtown Toronto (he gave the City all of 15 minutes’ notice before the public announcement); Harper’s refusal to consider options, even after Toronto itself expressed major concerns about costs, loss of revenue, security, and a multitude of other real problems for Torontonians; Harper’s handing Toronto Chief of Police Bill Blair and the Toronto police a near-impossible security task while, it appears, insisting that the Integrated Security Unit be coordinated from the Privy Council Office; the Harper government’s incompetence at managing money (your taxpayer dollars!), allowing costs to spiral out of control... Stephen Harper must be held accountable to Canadians for this.
The Liberal Party’s reaction: We have demanded answers from the Minister of Public Safety, Vic Toews. We have also joined in a request with other opposition MPs to have the House of Commons National Security Committee meet as soon as possible to investigate just what happened, and why, and asking Minister Toews to appear. Questions Liberals are asking, and which we hope can be asked at Committee soon, include: Who was ultimately giving security commands during the G20? Who designed the security plans for the G20? What security advice did the government consider before putting the summit in downtown Toronto? How were the contracts for security assistance (and indeed other summit hosting requirements) awarded? What was done, if anything, to manage costs? Who was responsible for the awarding of those contracts and what were the criteria? Given the Harper government refusal to answer almost any question, this will be tough, but we will continue to push.
Canada’s international role: I may be biased, given my own background in international relations and international law, but Canada should be playing a significant part in world affairs—more even than we are now. We have long punched above our weight, and as an example of a successful economy, of an even more successful pluralistic society based on our tremendous diversity and other strengths, and militarily (WWI, WWII, the Korean War, peacekeeping and Afghanistan). We have a real role to play on the international stage, a terrific opportunity to lead by example. As the influence of the G8 wanes and the importance of the G20 increases, it is critical that Canada have a significant role in the G20, particularly now in its early stages. (Kudos to former Liberal Prime Minister Paul Martin who, a number of years ago, proposed the idea of the G20 as an international financial forum in the first place.) Despite all of what has happened, I’m not upset that Canada agreed to host the G20, as part of the responsibility of that international role. I AM, however, very upset at how extraordinarily mismanaged the whole affair was by the Harper government. Exorbitant costs, unwarranted force, trampling of civil liberties, questions of favouritism and indeed possible corruption in the awarding of lucrative contracts—Canadians demand answers, and the world is watching....Stephen Harper must be held to account.
Des coûts exorbitants, des accrochages avec la sécurité, des forces policières injustifiées et l’empiétement des libertés civiles – ça, c’était le G20
Des arrestations, un rapport de force injustifié et une atteinte à nos libertés civiles : Je joins tous ceux qui demandent pour qu'une enquête publique soit mise sur pied, basée sur ce qui s'est passé dans les rues de Toronto. Malgré toutes les excuses entourant la « sécurité », le monde a vu Toronto - cette ville fabuleuse, vibrante et sécuritaire – comme une zone de guerre avec des autos en feu, des policiers agressifs ainsi qu'un non-respect de nos droits civils. Les effets des arrestations injustifiées, de l'intimidation ainsi que de la violence exercée par les forces policières continuent de se faire sentir. On DOIT se lever pour nos droits humains, nos libertés civiles, notre liberté d'expression et d'association. Ces derniers sont cruciaux pour notre démocratie. C'est bien plus que le simple fait de voter. C'est seulement quand nos droits sont protégés, qu'un vote et une société sont réellement démocratiques. Les forces policières et notre gouvernement doivent non seulement montrer le plus haut respect pour ces droits et libertés fondamentaux, ils doivent être ceux qui les protègent. Dans ce cas-ci, ils ne l'ont pas fait. On doit insister pour qu'ils le fassent. Une enquête est nécessaire.
Le G20 de Stephen Harper : Le blâme des mensonges repose principalement sur le dos de Stephen Harper. La décision de dernière minute de Harper d'avoir le G20 en plein centre-ville de Toronto (il n'a donné que 15 minutes d'avis à la ville avant l'annonce publique); le refus de Harper de considérer toute autre option, même après que la ville de Toronto ait elle-même exprimé ses inquiétudes face aux coûts, la perte de revenus, la sécurité ainsi que la multitude de problèmes collatéraux pour les gens de Toronto; sont toutes des critiques et de mauvaises décisions attribuables au Premier ministre Harper. Il a donné un défi impossible au chef de police de Toronto, Bill Blair, et à son équipe. Il a du même coup ordonné que la sécurité soit coordonnée par le Bureau du conseil privé. Stephen Harper a prouvé son incompétence à gérer de l'argent (l'argent des contribuables!), ce qui a résulté à des dépenses incontrôlables et exorbitantes… Stephen Harper doit être tenu responsable pour tout ceci.
La réaction du Parti libéral : On a demandé des réponses au Ministre de la Sécurité publique, Vic Toews. On a aussi demandé, en coopération avec d'autres députés de l'opposition, à ce que le comité permanent sur la sécurité nationale de la Chambre des communes se rencontre le plus tôt possible pour se pencher sur les événements survenus lors du G20, les raisons qui ont menées à ces actions et que le ministre Toews comparaisse devant le comité. Les questions que les libéraux se posent, et que nous espérons pouvoir bientôt poser au comité sont, notamment: qui donnait ultimement les directives concernant la sécurité lors du G20? Qui a conçu les plans pour la sécurité du G20? Sur quels considérations et conseils le gouvernement s'est-il attardé avant de désigner le centre-ville de Toronto comme le meilleur emplacement pour accueillir le Sommet? Comment a-t-on donné les contrats de soutient pour la sécurité (ainsi que les éléments requis pour la planification des autres sommets)? Quelles mesures ont été mises en place, s'il y en a, pour assurer une bonne gestion des coûts? Qui était responsable pour donner les contrats et quels étaient les critères? Dû au fait que le gouvernement Harper a refusé de répondre à presque toutes les questions qui lui ont été demandé, ce sera difficile, mais nous continuerons de chercher la vérité.
Le rôle du Canada à l'international : Je suis peut-être biaisée, étant donné mes expériences en relations internationales et en droit international, mais le Canada doit jouer un rôle significatif dans le monde des affaires internationales – et ce, maintenant plus que jamais. On a une opportunité en or d'être un leader. Comme l'influence du G8 diminue et l'influence du G20 augmente, il est crucial que le Canada joue un rôle significatif au G20, particulièrement maintenant dans ses débuts. (Bravo a l'ancien Premier ministre libéral Paul martin qui, quelques années passées, a proposé l'idée que le G20 soit un forum financier international de premier plan). Malgré tout ce qui est arrivé, je ne suis pas déçue que le Canada ait accepté d'être l'hôte du G20, en raison de son rôle au niveau international. Par contre, JE SUIS très bouleversée par comment le tout a été mal géré par le gouvernement Harper. Des coûts exorbitants, une violence policière injustifiée, un non-respect de nos droits civils, des questions de favoritismes et potentiellement de corruption au niveau des contrats – les Canadiens demandent des réponses et le monde nous regarde… Stephen Harper doit être tenu responsable.